La discipline est un jeu auquel tout le monde devrait vouloir gagner.

Pour la plupart d’entre nous, hormis lorsque le contexte est cadré par une autorité, le travail n’est pas motivé par les raisons les plus optimales pour y trouver du fun et de la satisfaction.

Mon analyse concerne surtout la discipline du travail en autonomie, et effectivement pour la majorité d’entre nous, l’école et/ou la famille n’a généralement pas l’expertise de ce que j’appelle « la pédagogie gamifiée » ou l’on vient appuyer sur des moteurs à intérêts surpuissants sous forme de jeu.

Rappelons qu’il est nécéssaire de se familiariser à la résilience par des petits défis accessibles pour ensuite savoir comment manipuler nos perceptions émotionnelles plus facilement pendant les moments de fatigue ou de stress lorsqu’il s’agit d’objectifs plus grands.

Nous avons normalement tous déjà eu le droit à cette phrase, je cite « Fais le ça te servira plus tard »

Cette formulation ne dit ni comment ni pourquoi, et désactive non seulement notre motivation mais aussi dégrade le plaisir du chemin pour arriver à notre objectif.

Obtenir l’engagement de quelqu’un est presque à la portée de tous.

Pourtant lorsqu’il s’agit de se l’appliquer à soi, pour un sujet qui n’est pas perçu comme attractif, et qui apporte une gratification différée comme le travail, nous manquons d’imagination.

Bonne nouvelle la possibilité d’appuyer sur des leviers d’auto-persuasion est infinie, et chacun peut définir ses propres règles du jeu.

En voici quelques unes qui m’ont permis d’atteindre plusieurs objectifs :

L’aversion à la perte

Les figures d’inspirations

Les récompenses aux résultat

La valorisation verbale

Je suis curieux de connaître les votre en privé ou en commentaire ou de vous aider à trouver celles qui vous permettront de gagner au jeu de la discipline.

Merci à toutes les nouvelles personnes qui s’abonnent à mon contenu, la suite est déjà en cours de route !

Discussion 3

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À l’heure ou l’action est vantée comme reine, il est temps de proposer une lecture différente de cette tendance et de valoriser son origine : la reflexion.

Qui est né d’abord ?L’oeuf ou la poule, la pensée ou l’action ? Sans faire de recherches on peut directement faire le parallèle avec les systèmes intelligents, qui agissent en autonomie, dès le niveau microscopique (cellules etc) et finir par conclure, que l’un n’existe pas sans l’autre, et qu’ils forment donc une seule et même chose.

On comprend finalement pourquoi on peut considérer la pensée comme une action, et que la matérialisation de nos pensées, interprétée comme étant « magique », est scientifiquement explicable. Du moins sa conséquence est réelle si elle n’est pas instantanée.

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Et si l’hésitation était en réalité la face cachée de la confiance en soi ?

Il est courant de faire ressentir que nos incertitudes sont synonymes de manque de confiance en soi mais j’aimerais rappeler au contraire, que le doute fait partie de notre intuition car le doute est la preuve que l’on estime ne pas être sûr.

Lorsqu’on est sûr de ne pas être sûr, c’est une conviction et pour être convaincu il faut avoir confiance.

Nous avons pour devoir de respecter notre besoin de découverte. Ce chemin est propre à chacun, envisageons donc toutes nos expériences sans imaginer ce que quelqu’un d’autre ressentirait car nous avons besoin d’être présent pour trouver nos propres réponses.

Luc Grandcoing, Docteur Motivation.

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