Né aux Comores, Rabbah a toujours abrité de grands rêves au fond de son cœur, même s'il n'osait pas encore les exprimer. Son parcours l'a emmené en France après l'obtention de son baccalauréat, pour poursuivre des études universitaires que son entourage avait choisies pour lui.

Pourtant, tout a changé à l'aube de sa troisième année en biologie. Une révélation l'a éclairé : ces études, qui avaient été choisies par d'autres, ne le passionnaient plus, ne le représentaient plus. En partageant ses réflexions et doutes avec son frère, une question cruciale est surgie :
"Où te vois-tu dans 10 ans ?"

C'est à partir de ce moment que Rabbah a pris en main les rênes de son destin. Il a radicalement changé de cap et s'est découvert une passion pour l'économie et les affaires. Malgré les réactions négatives de son entourage, qui ne comprenait pas son choix, Rabbah a poursuivi son rêve. Il a décidé de se lancer dans des études en économie, ce qui l'a finalement conduit à son objectif ultime : devenir expert-comptable.

La vie de Rabbah est un mélange fascinant de paradoxes, de passions multiples - le football, la photographie - et de choix qui l'ont façonné en l'homme inspirant qu'il est aujourd'hui.

C’est aussi le récit de travail acharné, de défis presque insurmontables, et de persévérance, de revention. Le parcours de Rabbah est une réponse retentissante à tous ceux qui doutent de la possibilité de réussir en partant d'absolument rien.

Pour contacter Rabbah, rends toi sur Intagram @rabbah.mohamed ou LinkedIn @Rabbahmohamed

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L'univers d'Amine est une aventure gustative unique, où le bonheur se déguste en portions glacées, et où les sourires sont la véritable monnaie d'échange. Mais cette histoire ne se limite pas à la gourmandise et aux plaisirs glacés. C'est le récit captivant d'un jeune homme dont la vie a longtemps été façonnée par des règles strictes et un environnement contraignant.

Les rêves personnels semblaient lointains, l'autonomie hors de portée. Pourtant, Amine, élevé dans un cocon où chaque geste était scruté, a trouvé le courage de briser ces chaînes et de forger sa propre voie vers la réussite.

Son désir de réussir l'a poussé à poursuivre des études supérieures au Sénégal, mais il a rapidement compris que pour se démarquer, il lui fallait plus que des diplômes. Alors qu'il jonglait entre ses études et son
premier emploi, un incident inattendu a enflammé la flamme de l'entrepreneuriat en lui. Lors de cette discussion, nous allons plonger au cœur de l'histoire d'Amine. Comment a-t-il surmonté les défis qui se sont dressés sur son chemin ? Comment a-t-il jonglé entre les attentes familiales et ses aspirations personnelles ? Et surtout, comment a-t-il embrassé la passion et l'entrepreneuriat pour transformer sa vie et réaliser ses rêves ?

Nous explorerons également les moments où Amine a dû faire face à des tempêtes intérieures, notamment la déchirante perte de ses proches, aux doutes et aux remises en question. Vous découvrirez comment il a non seulement survécu à ces épreuves, mais aussi comment il en est sorti plus fort, plus déterminé que jamais. Son histoire résonne comme un vibrant hymne à la puissance de la passion, de la persévérance et de la volonté de ne pas attendre que demain soit certain pour poursuivre ses rêves.

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Dans la mosaïque des vies qui nous entourent, certaines histoires brillent d’une lumière particulière. Aujourd'hui, je vous invite à plonger dansl'histoire de Faida, une histoire qui transcende les frontières, les cultureset les expériences.

Quand la vie nous met au défi, comment trouve-t-on la force de continuer lorsque la tempête fait rage ? Comment puise-t-on au plus profond de soi pour surmonter les obstacles qui se dressent sur notre chemin ? Comment façonne-t-on son identité lorsque l'on jongle entre deux mondes et deux cultures ? Comment découvre-t-on sa propre voix au milieu des attentes de la
société et de sa quête personnelle de sens ?

Faida nous rappelle que chaque parcours de vie est unique, mais aussi universel. Elle nous emmène dans un voyage à travers les méandres de son existence, de la France aux Comores en passant par la Guadeloupe, de la jeunesse à la maternité, de la découverte de soi à la résilience.

À travers les mots de Faida, nous explorerons les thèmes de l'identité, de la maternité, de la lutte pour l'épanouissement personnel, et de la découverte de sa propre voix. Son histoire est un témoignage vibrant de la puissance des femmes, de la capacité à s'élever au-dessus des circonstances, et
de la recherche perpétuelle de sens.

Ce podcast n'est pas seulement un récit, c'est un dialogue entre les mondes, un pont entre les cultures, une invitation à la réflexion.

Alors, installez-vous confortablement et préparez-vous à être transporté(e) dans un voyage à travers le temps, l'espace, et bien sûr l'âme de Faida.

Retrouvez Faida sur instagram nyandzo_za_kikomori">nyandzo_za_kikomori ou sur Youtube @nyandzo271 pour suivre de ses actualités

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On a tous ces petites blagues que l'on fait entre amis pour égayer nos conversations. Celles qui font rire et qui, en même temps, révèlent peut-être un bout de vérité caché derrière. Une de mes préférées est celle où je dis, en souriant, que si j'ai un jour un enfant, je le remettrai entre les mains de ma sœur pour qu'elle s'en occupe. Et chaque fois, c'est la même réaction en retour : "Mais pourquoi avoir un enfant si tu n'as pas envie de t'en occuper ?"

Ce que je ne dis pas, c'est l'admiration secrète que j'ai pour ma sœur quand je la vois interagir avec sa propre fille. La patience infinie, la bienveillance sans faille avec lesquelles elle accompagne chaque petit pas de ma nièce dans ce monde tout neuf qui s'ouvre à elle.

Mais ce qui m'interpelle encore plus, c'est cette détermination à toujours vouloir faire mieux, à transmettre différemment, à façonner l'avenir d'une manière qui compte vraiment. Et c'est là que l'histoire
de mes deux invités entre en jeu. Laissez-moi vous parler de Djawad et Haoudhoi.

Djawad, c'est cet architecte inspiré, celui qui a débuté dans le monde de l'événementiel pour finalement se découvrir une passion pour l'éducation. Et puis il y a Haoudhoi, l'ingénieure, qui a toujours su que
l'éducation était le pivot du progrès, une conviction qu'elle a renforcée en travaillant aux côtés de son père.

Ils ont uni leurs forces pour créer "Hope", un nom qui incarne l'espoir, le potentiel et l'opportunité. Et derrière ce nom se cache une mission puissante, celle de remodeler l'éducation, de façonner des
esprits curieux et ouverts, de donner aux générations futures les clés pour un
avenir meilleur.

Tout au long de cet épisode, nous allons explorer leurs histoires inspirantes, leurs motivations profondes et les défis auxquels ils sont confrontés. Nous allons plonger dans les cinq piliers qui soutiennent leur
projet et qui, je l'espère, feront écho en chacun de nous.

Je vous invite à rejoindre ma conversation avec Haoudhoi et Djawad. Bonne écoute.

Retrouvez Djawad et Haoudhoi sur leur page Intagram @hopeschooloflife">hopeschooloflife

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La première fois que j’ai vu Nawiya se produire sur scène, c’était chez Mvuli devant un parterre de gens venue d’ici et d’ailleurs. Je me rappelle avoir ressenti une espèce de vibration traversée l’assistance. Le genre de vibration qui captive, mobilise tous nos sens. D’abord, j’ai tenté de mettre cette expérience collective sur le compte de son charisme, son énergie. Et puis, en y réfléchissant, je pense que ce jour-là Nawiya m’avait profondément marqué car elle avait touché mon cœur de fille, de sœur, de femme.

Plusieurs mois sont passés sans que je me résolve à lui envoyer un message pour qu’elle me raconte, se raconte. Je pense que j’appréhendais mon échange avec Nawiya car je savais qu’elle me mettrait face à moi-même, à mes certitudes et mes contradictions. Faisant fi de mes peurs, je me décide de la contacter pour en savoir davantage sur elle, découvrir les détails de ce qui fait la femme inspirante qu’elle est. Et c’est comme ça que j'en suis venue à lui demander pourquoi ? Pourquoi elle fait ce qu’elle fait?

A cet instant, j’ai su qu’une heure de conversation ne suffirait pas. Pas si je souhaitais saisir la portée de son message, de ses combats, ses doutes, ses succès. Alors on a pris le temps. Notre conversation a duré près de 2 heures. J’étais tellement captivée par son message que je n’ai pas remarqué que l’enregistrement s'était arrêté. On avait perdu près de 30 minutes d’échange. Cela ne nous avait pas découragé pour autant. A la fin de notre échange on s’est même promis de se recontacter pour enregistrer un autre épisode dans lequel on aborderait d’autres thématiques qu’on n’a pas pu aborder ce jour-là.

Nawiya m’a parlé de son enfance, de comment est née sa passion pour le slam. Elle m’a parlé de ce que c’est que d’etre une femme qui slam et des craintes qu’elle peut avoir par rapport à la pratique de son art. Elle m’a parlé de date de péremption, de peur, de ces regards qu’on pose sur soi et ceux que les autres posent sur nous.
Elle m’a confié pourquoi elle a décidé d’etre la porte-voix des sans voix, pourquoi elle parle de sujets invisibles, invisibilisés. Elle m’a aussi parlé des femmes et des hommes de sa vie, de Dakar et beaucoup d’autres choses.

C’est avec joie que je t’invite à rejoindre ma conversation avec Nawiya. Bonne écoute.

Retrouves Nawiya sur Instagram @nawiya_ , @les_pépites_de_nawy, @i_s_s_a_r pour suivre ses actualités.

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J’adore rigoler. J’adore aussi faire des blagues. J’avoue, le plus souvent, je suis la seule à les comprendre et en rire.

J’ai pour principe de ne jamais répéter mes blagues quand elles ne sont pas entendues et où comprises. Parce que oui, quand cela arrive, je suis comme prise de panique, gênée et angoissée à l’idée de devoir me répéter et que mes blagues ne trouvent finalement pas leur public.

Et forcément, je ne peux pas m’empêcher de m’interroger sur comment font les autres pour qui faire rire semble etre une évidence ?

Car c’est une chose d’amuser la galerie entre proche et c’est autre chose de sortir du cadre privé et de décider de se produire en public. Quelle folie doit bien les habiter pour vouloir se présenter aux gens dans le seul but à priori insensé de les faire rire ?

Fouad est de ceux qui aiment rire, faire rire. Je dirais même que l’humour fait partie de son ADN (audio). Grace à son style unique, sa personnalité atypique il a su conquérir le cœur de son public qui ne jure que par lui.

L’histoire de Fouad pourrait tenir sur ces quelques phrases et c’est déjà une histoire incroyable. Mais c’est sans prendre en compte une donnée capitale : le handicap dont souffre Fouad depuis l’enfance.

Mais alors, à quel moment on décide de prendre le micro, se raconter, raconter ses vulnérabilités alors même qu’on traine en soi l’insupportable épée de Damoclès entre la langue ? Comment réussit-on à s’affranchir des limites qu’on s’impose et celles imposées par la société pour oser prendre sa place, donner sa voix ? Quelle béquille Fouad a-t-il mis en place pour l’aider à gérer son bégaiement, son stress afin de vivre des moments scènes magiques ?

Dans cet épisode, Fouad vous racontera un récit sans concession sur son parcours.

De comment il a découvert l’humour à comment il a appris à accepter son bégaiement et à le transformer en atout, il vous décortiquera son parcours, ses succès et ses échecs ainsi que les leçons apprises en cours de route.

Avec Faoud, nous avons parlé de son papa, de ses mentors et de ces personnes qu’on rencontre qui changent notre perception du monde.

Alors assis toi donc confortablement et prépare toi à etre émue, à rire aux éclats et surtout à etre inspiré par l’incroyable histoire de Fouad.

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Suis les aventures de Salim:

Facebook: @comorescomedieclub / @cmm

Instagram: @fouad.salim.391

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L’autre jour, on parlait de ces personnes qu’on voit souvent sur Instagram et à qui on prête une vie d’amour et d’eau fraiche: la dolce Vita, bref. On admire leur vie autant qu’on les envie. Parfois, on se laisse séduire par leur dernière recommandation : un restaurant, un concert, un film.

Avec les copains, on s’est prêté au jeu de lister les comoriens qui nous influencent positivement sur les réseaux. Plusieurs noms sont sortis mais un seul nom revenait presque automatiquement. Benour hahaha

Vous avez sûrement vu une de ses poste instagram qui donnes toujours envie de lâcher son boulot, sécher ses cours pour partir en vacances : flâner à la plage ou nager avec les dauphins.

Au-delà de cette vie en paillette, au délà des 11 k d’abonnés, au déla des yeux en cœur qu’on pose sur cette vie irréelle, j’ai voulu connaitre l’homme derrière Discovermores.

Qui est Benour ? comment est né Discovermores ? Quelles ont été les difficultés rencontrées ? Comment a-t-il réussi à tirer son épingle du jeu en l’espace de 4 ans alors que personne n’aurait parié 1 fc sur lui ?

Autant de question que Benour a eu l'amabilité de répondre avec humilité et transparence. Il vous dira comment il est passé d’un étudiant en échec à l’école de médecine à CEO de l’agence d’écotourisme la plus en vue des Comores. Vous apprendrez que son parcours n’a pas été linéaire, si tant est qu’il doit l’etre d’ailleurs, il a souvent questionné ses choix, pris des folles décisions mais la seule certitude de faire ce qui le passionnait suffisait à se jeter corps perdu dans l’aventure de sa vie.

Retrouve Benour sur son compte Instagram @discovermores">discovermores pour suivre ses actualités

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A 20 ans, on est dans la fleur de l’âge et on est prêt à conquérir le monde. La conquête du monde de William a des airs de France, de fac, de philo bref de liberté. Oui mais c’est sans compter la petite voix intérieure qui lui répète sans discontinuer « qui es-tu », « d’où tu viens » ?

Impossible pour William de faire abstraction de cette voix qu’il a que trop longtemps essayé de faire taire. Comme une urgence, il doit compléter le chainon manquant du tableau de sa vie.

Alors, il décide d’abandonner sa vie toute tracée et de faire le trajet inverse de ses compatriotes, avalé 242 km pour rejoindre Moroni depuis Mamoudzou. Son retour au pays n’a pas été aisé. Il a été teinté de haut et de beaucoup de bas mais dans ce tumulte de questionnement, de toute doute, une seule certitude effaçait tout le reste, celui d’avoir fait le bon choix.

En préparant cet épisode, je me suis très souvent demandé si elle l’avait su ? Ou dois-je dire comment elle a su ? Elle, Qu’en choisissant William comme prénom, elle scellerait aussi l’avenir de son fils ?

Quelle est la place de l’instinct maternel dans l’avenir d’un enfant ? Pourquoi est-il important de savoir s’écouter ? En quoi l’écoute de son enfant intérieur peut elle nous ouvrir d’autres perspectives
insoupçonnées ?

Le récit que tu t’apprêtes à écouter est une histoire d’amour entre une mère et fils pour le cinéma.

C’est une histoire quête de sens, de reconnexion à soi et à ce à quoi nous sommes faits.

Retrouve William sur son compte Instagram @willstonfyt - @catmoonfilm pour découvrir et rédecouvrir son univers.

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